jeudi 18 décembre 2008

ROBERT WYATT ART TRISTE MAJEUR

Une vague de réédition des albums solo de Robert WYATT a lieu chez Domino Records. On se souvient du batteur à la voix fluette et haut perchée de SOFT MACHINE puis de MATCHING MOLE et de son fameux "Oh Caroline".


The End Of An Ear (1970)

Une sorte de chaos musical dangereux pour les tympans sensibles, à écouter d’une oreille attentive, celle qui reste. Du Free-Rock expérimental.



Rock Bottom (1974)

Tomber par le fenêtre est dangereux pour la santé, Chet BAKER ne s’en est pas remis et Robert WYATT y a laissé ses gambettes et ses baguettes. Une musique qui irradie la beauté dans une atmosphère d'outre-tombe.
Déconseillée aux dépressifs chroniques « Sea Song » « Alifib ».



Ruth Is Stranger Than Richard (1975)

Plus enjoué mais c’est quand même pas la nouba, on flirte avec le jazz entre 2 bises à Alfie.





Nothing Can Stop Us (1982)

Quand il s’attaque à des reprises les originaux deviennent communs « At Last I Am Free » (Chic) « Shipbuilding » (Elvis Costello).




Old Rottenhat (1985)

Un de ses meilleurs crus depuis « Rock Bottom », déconseillé aux mêmes, à croire que tristesse et beauté vont de paire et riment avec cafard « Alliance » « Speechless » « P.L.A ».

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