mardi 4 août 2009

LED ZEPPELIN LES REGLES DE L'HARD

Suite de l'histoire...
HOUSES OF THE HOLY (1973)
Premier album avec un titre à la pochette d’un goût douteux, BLINDFAITH s’est fait censuré pour moins que ça. Si le riff n’est pas en berne « The Song Remains The Same » LED ZEP confirme son désir de renouvellement en s’aventurant aux frontières du Reggae et du Funk
« The Crunge » « D’yer Mak’er » « No Quarter ». Eclectique mais moins électrique.
PHYSICAL GRAFFITI (1975)
Double ration avec une pochette à fenêtres (et à tiroirs) qui nous fait encore regretter la fin du vinyle. Des morceaux issus des séances précédentes « Houses Of The Holly » et du flambant neuf.
Du pur « Kashmir » soyeux et élégant, ça groove « Trampled Under Foot », ça Blues intense « In My Time Of Dying ». Impressionnant par la diversité des styles.
PRESENCE (1976)
Un album qui n’en manque pas encadré par deux titres fleuve « Achilles Last Stand » aux guitares Pitbull d’une technique ébouRIFFante et au chant dévastateur et « Tea For One » le blues ultime à faire pleurer un huissier en exercice. « Nobody's Fault but Mine » du Rock/Blues entêtant. Un Jimmy PAGE impérial. Mon favori après LED ZEP 1.
IN THROUGH THE OUT DOOR (1979)
L’album de John Paul JONES qui aurait dû synthétiser son usage des synthés car on frôle parfois l’overdose « Carouselambra ». Jimmy se fait discret hormis sur « In The Evening » et Robert PLANT nous émeut avec la ballade « All Of My Love » dédié à la mémoire de son fils Karac. Un peu court pour un chant du cygne.
CODA (1982)
Des inédits «Wearing And tearing » , des prises Live « I Can’t Quit You Baby ». Pour les fans complétistes et pour la frappe toujours exceptionnelle de John BONHAM sur « Bonzo's Montreux».

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